légende Algonquin
Glooscap et Malsum ( Mythe de la création )
Le grand Terre-Mère a eu deux fils, Glooscap et Malsum.
Glooscap était bon, sage, et créatif; Malsum est mal, égoïste et destructeur.
Quand leur mère mourut, Glooscap est allé travailler en créant des plantes, des animaux et l'homme de son corps.
Malsum, en revanche, fait les plantes vénéneuses et des serpents.
Comme Glooscap a continué à créer des choses merveilleuses, Malsum s'est lassé de son bon frère et comploté pour le tuer.
En plaisantant, Malsum se vantait qu'il était invincible, même s'il y avait une chose qui pourrait le tuer: les racines de la fougère.
Il harcelait Glooscap pendant des jours pour trouver de bons frère la vulnérabilité de l'.
Enfin, comme Glooscap pourrait dire pas de mensonges, il confie qu'il ne pouvait être tué que par une plume chouette.
Sachant cela, Malsum fait un dard d'une plume chouette et tué Glooscap.
La puissance du bien est si forte, cependant, que Glooscap est ressuscité des morts, prêt à se venger.
Revivre, Glooscap savait aussi que Malsum continuera à comploter contre lui.
Glooscap se rendit compte qu'il n'avait pas d'autre choix que de détruire Malsum afin que le bien serait de survivre et de ses créatures de continuer à vivre.
Alors il est allé à un cours d'eau et a attiré son frère le mal par le haut en disant que la floraison de certaines Reed pourrait aussi le tuer.
Glooscap, puis il tire une fougère par les racines et le jeta à Malsum, qui tomba à terre, mort.
l'esprit Malsum entré dans la clandestinité et d'être un loup-venu méchant esprit qui tourmente encore occasionnelement les humains et les animeaux, mais craint la lumière du jour.
Glooscap subventions three wishes
Quand les hommes avaient entendu dire que Glooscap, le seigneur des hommes et des bêtes, serait accorder un souhait à tous ceux qui pourraient venir à lui, trois Indiens a décidé de tenter l'aventure.
L'un était un des Malécites de St. John, et les deux autres ont été Pentagouets de la vieille ville.
Le chemin a été long et à la dure, et ils ont souffert beaucoup pendant les sept années qu'il leur avait fallu.
Mais alors qu'ils étaient de trois mois chemin encore à son domicile, ils ont entendu les aboiements de ses chiens, et à mesure qu'on approchait de jour en jour, le bruit était fort.
Et c'est ainsi qu'après de grandes épreuves, ils le trouvèrent, et il a fait les accueillir et les divertir.
Avant ils allaient, il leur demanda ce qu'ils voulaient.
Et l'aîné, un homme honnête et simple, sans permanent à la maison parce qu'il était un mauvais chasseur, a dit qu'il voulait être un maître à attraper et tuer du gibier. Glooscap.
Puis lui donna une flûte, ou le tuyau magique, qui plaît à toutes les oreilles et a le pouvoir de persuader tous les animaux de suivre celui qui le joue.
L'homme a remercié le Seigneur et à gauche.
La seconde sur les Indiens, comme on lui demandait ce qu'il aurait répondu, "l'amour de nombreuses femmes."
Et quand Glooscap demande combien, dit-il, "je n'aime pas combien, tellement il ya assez et plus qu'assez."
Le dieu parut mécontent d'entendre, mais en souriant, l'homme a donné un sac qui a été étroitement lié et lui dit de ne pas l'ouvrir avant d'avoir atteint la maison. So the second Indian thanked the lord and left. Ainsi, le second des Indiens a remercié le Seigneur et à gauche.
Le troisième était un Indien et beau, mais folie de jeune garçon gay dont tout le cœur a été mis sur les faire rire les gens.
Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il voulait surtout, il a dit qu'il aimerait être en mesure de faire un charmant et certains sons merveilleux, comme brise-vent ou les éructations, qui a été souvent entendu dans ces temps primitifs parmi tous les Wabanaki.
L'effet de ce bruit est telle que ceux qui l'entendre toujours éclater de rire.
Et pour le Glooscap était aussi affable, la sécurisation de la forêt une magie certaine racine qui, lorsqu'ils sont consommés, créerait le miracle, le jeune homme recherché.
Mais Glooscap l'avertit de ne pas toucher la racine jusqu'à ce qu'il obtienne la maison. Elated, the man thanked the lord and left. Ravi, l'homme a remercié le Seigneur et à gauche.
Il avait pris les trois Indiens sept ans pour y arriver, mais sept jours étaient tous ils avaient besoin de rentrer chez eux.
Pourtant, seulement un des hommes les a jamais vu sa loge à nouveau.
Ce fut le chasseur, qui marchaient à travers les bois avec sa pipe dans sa poche et la paix dans son cœur, heureux de savoir que tant que vécu, il aurait toujours la venaison dans son garde-manger.
Mais l'homme qui aimait les femmes, mais n'avait jamais remporté une femme, était impatient de savoir si la magie Glooscap pourrait fonctionner.
Il n'avait pas allés très loin dans les bois avant d'ouvrir le sac.
Et il s'envola par centaines, se trouvent colombes blanches qui papillonnent autour de lui, de belles filles aux yeux noirs et cheveux au vent brûlant.
Wild avec passion, ils ont jeté leurs bras autour de lui et l'embrassa comme il a répondu à leurs étreintes.
Mais ils se pressaient plus en plus épais, plus sauvage et plus passionnée.
Il leur a demandé de lui donner de l'air, mais ils ne seraient pas, et il a essayé de s'échapper, mais il ne pouvait pas, et ainsi, haletant, en criant pour respirer, il étouffe.
Et ceux qui sont venus de cette façon le trouva mort, mais ce qui est devenu des filles ne sait.
Maintenant, la troisième indiens ont gaiement le long du chemin quand tout à coup il a clignoté sur son esprit que Glooscap lui avait donné un cadeau.
Et sans le moindre bien de l'avertissement de Glooscap, il tira la racine et la mangea.
A peine avait-il fait cela avant qu'il ne réalise que les a le pouvoir de prononcer les sons étranges et mystique de la perfection.
Il sonnait sur les collines et se réveilla les échos lointains jusqu'à ce qu'il soit répondu par un hibou solennel, et le jeune homme a estimé qu'il était effectivement merveilleux.
Alors qu'il marchait sur gaiement, trompette, comme il est allé, heureux comme un oiseau.
Mais tout à l'heure, il commença à se sentir fatigué de sa performance.
En voyant un cerf, il a attiré une flèche, a volé plus près, et s'apprêtait à tirer quand, en dépit de himselft l'état sauvage, son surnaturelle éclata comme démon warble un.
Le cerf bondir, et le jeune homme a été maudit.
Au moment où il atteint la vieille ville à moitié mort de faim, il n'était pas beaucoup plus à rire, d'abord les Indiens ne rire, qui l'acclamaient un peu.
Mais comme les jours passaient, ils fatigués de sa plaisanterie et a commencé à l'éviter.
Son impopularité lui fit sentir que sa vie était un fardeau, et il alla dans les bois et se tua.
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